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Avril 2018 : Ce blog, développé sur une plateforme gratuite, et actif de 2005 à 2011 reçoit encore entre 50 et 100 visites par jour. Mais, comme il est envahi par la publicité, depuis 2012 nous alimentons un nouveau projet sur www.veroeddy.be . Sous ce même nom vous nous trouverez sur les réseaux sociaux où ce sera une grande joie de communiquer avec vous  C'est toujours un plaisir de lire vos découvertes et d'échanger sur notre intérêt partagé pour le voyage. Si vous avez une question, n'hésitez pas à nous laisser un commentaire ou à nous envoyer un mail,

A bientôt.

Véro et Eddy

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Nous sommes ravis de vous accueillir virtuellement dans notre espace voyage. Nous avons ouvert ce blog de voyage en 2005, mais nous bourlinguons ensemble depuis bientôt 40 ans. Nous espérons  vous divertir avec nos récits, mais surtout, vous donner envie de découvrir le monde, vous aussi. Si vous souhaitez poser une question, et que vous n'êtes pas sur le réseaux sociaux, notre mail :  C'est ici
Merci pour l'intérêt que vous portez à nos aventures. Bonne découverte.  
Véro et Eddy

30 novembre 2008 7 30 /11 /novembre /2008 14:53
Nous interrompons le déroulement de notre voyage au Botswana pour vous livrer un premier coup d'oeil du côté des "Plaisirs d'hiver" à Bruxelles. Le marché de Noël a ouvert ses échoppes ce vendredi 28 novembre. En guise de transition, je vous invite à nous arrêter tout d'abord devant cette boutique haute en couleurs qui propose des objets réalisés à partir de cannettes.
 
 
Après le sculpteur de glace je vous invite du côté des manèges.
 
La foule est cosmopolite. On y entend des langues et des accents d'un peu partout ...Français, Canadiens, Anglais, Américains, Allemands, Suisses, Scandinaves, Italiens, Espagnols, Indiens et bien d'autres s'y côtoient. Ci-dessous un Québequois qui vente la qualité de ses produits.
 
 
Eddy et Véro à Bruxelles
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26 novembre 2008 3 26 /11 /novembre /2008 19:17
Nous avons de la chance ! Un tour quitte Kasane à 15h45. Il s'agit d'une croisière sur la rivière Chobe qui permet d'observer les animaux à partir du bateau... Un safari flottant quoi !
On embarque d'abord dans un camion ouvert avec un groupe de touristes russes et quelques voyageurs individuels. Le véhicule nous amène au bord de la rivière où un bateau (une terrasse couverte avec des sièges de jardin, le tout sur boudins flottants) nous attend.
 
Nous ne sommes pas les seuls sur la rivière. Des embarcations de tout poil sillonnent les eaux.
 
Nous longeons tout d'abord la berge qui nous livre son lot de petites scènes champêtres: pêcheurs , petite famille à la recherche d'une embarcation pour transporter ses achats (bassins en plastique, réserve de bois, ... )
 
 
Nous arrivons à proximité de Sedudu Kasikile. Il s'agit d'une grande île où de nombreux animaux se regroupent pendant la journée. Au loin nous apercevons déjà une multitude d'éléphants.
 

Ce safari nautique permet de s'approcher en toute sécurité de certains animaux dont on resterait à bonne distance si on était à terre.

 
Véro et Eddy
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25 novembre 2008 2 25 /11 /novembre /2008 19:25

2,5 km plus loin, nous découvrons le centre de Kasane: une banque (fermée) , un bureau de poste (fermé), quelques boutiques agglutinées autour d'une pompe à essence et un Spar (grande surface).

...et puis, il ya aussi un petit magasin chinois qui vend de tout... A l'intérieur de la boutique, les marchandises sont présentées dans leurs emballages en carton d'origine. Des objets de tout genre (à Bruxelles, on appelle ça du "brol" ). Sur une petite écritoire, on peut lire "bureau de change". Près de la caisse, les "exchanges rates" sont affichées sur un tableau (le dollar se change à 6,22). Ouf! Nous voilà dépannés. Nous filons vers le Spar pour effectuer quelques achats. Ici, on vit la réalité de l'Afrique: 30 minutes d'attente pour acheter un pain. Nous trouvons une série de produits qui vont nous permettre de combler quelques repas (tomates, thon en boîte, haricots verts, olives, ...)

Il nous faudra porter nos achats sur les 2,5 km, car nous ne trouvons toujours pas de transport. Mai, comme le dit Véro, un peu d'exercice ne nous fera pas de tort. En quittant le centre de Kasane, nous repérons l'office du tourisme... qui propose également un exchange service.

 

Eddy gagne son pari ! La chambre n'est toujours pas prête mais heureusement, le bar est ouvert. Nous en profitons pour prendre l'apéro.

 
 
 

Le barman nous informe que notre chambre est disponible. Elle est trop neuve pour être parfaite, mais l'essentiel y est.

Après un brin de toilette, nous partons à la pêche aux renseignements pour organiser des excursions.

 
 
Véro et Eddy
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22 novembre 2008 6 22 /11 /novembre /2008 20:40

Dimanche 20 juillet 2008

Debout à 6h pour préparer les sacs. Vers 7h. nous nous dirigeons vers le restaurant qui se nomme le "Blue Baboon". Ils y servent de petits déjeuner complets pour 7 us $ ... ( thé 1$ / café 2 $ ) ... mais ce matin, nous ne pouvons rien obtenir car le "boss" n'est pas encore là, et c'est le seul à posséder les clés du frigo. Donc, pas de breakfast !

Vers 8h, la patronne apparaît et nous demande si nous avons reçu son message. (Nous avons constaté que les messages, en Afrique australe, ce n'est pas un truc qui passe). Elle nous l'annonce donc de vive voix. Nous pouvons partir avec son mari qui se rend en voiture à Kasane. Il nous en coûtera 50 us $ pour le trip qui nous fera franchir la frontière jusqu'au Botswana. Comme nous sommes prêts, nous embarquons immédiatement dans une vieille Corolla et nous filons en direction de Kasane.

En chemin nous croisons quelques commerces.

 

La route traverse un parc national. Nous apercevons d'ailleurs une girafe. Après une heure de route, nous atteignons Kazungula, point de rencontre de 4 frontières : Zambie, Namibie, Zimbabwe et Botswana. Une file interminable de camions s'étire devant l'embarcadère qui donne accès au ferry qui relie le Zimbabwe à la Zambie. D'après notre chauffeur, il faut, en ce moment, compter 2 à 3 jours d'attente pour traverser car le ferry ne peut charger qu'un camion à la fois.

En ce qui nous concerne, la route vers le Botswana est dégagée et les formalités au poste frontière du Zimbabwe ne prennent que deux minutes.

Dans le no man's land nous devons passer par le service de décontamination. Tandis que nous pataugeons avec nos chaussures dans un pédiluve contenant un désinfectant, le véhicule baigne ses pneus dans une nappe du même produit. Cette opération est destinée à éviter la propagation de maladies amenées par voie terrestre.

 
 
 
Véro et Eddy
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21 novembre 2008 5 21 /11 /novembre /2008 20:43
 
 

Les tabourets vides s'alignent devant le bar. De petits lampions attirent déjà les premiers moustiques. Il est 18h30. La nuit est tombée. Le barman, une casquette déposée sur ses cheveux rasta gratte les cordes de sa guitare, tandis que la tv diffuse de la musique. Deux grands danois (les chiens) arpentent le jardin qui fait face au bar. Une tribu de criquets accompagne les accords de guitare du barman. La vie s'écoule paisible. A gauche, une cuisine en plein air disperse des effluves de pizza peperoni. Des motifs africains aux couleurs chaudes et vives décorent les murs et les colonnes.

Dans un coin, un couple murmure. Tout est paisible. Le temps suspend sa course. La vie devient moment. Nous sommes dans un enclos de bonheur. Je ferme les yeux et mes oreilles captent les sons qui m'entourent. Quelques voix égarées dans la nuit se mêlent à la musique et au zézaiement des criquets.

J'entrouvre les paupières. Un chat noir prend la pause sur le comptoir du bar. Déjà, l'air se fait plus frais. Deux clients se tassent devant les buches qui se consument dans le feu. Nous vidons nos verres et nous rejoignons notre chambre.

Véro fait des grimaces car les chambres du shoestrings backpackers sont quelque peu différentes de celles du Victoria falls hotel ! Nous nous blottissons l'un contre l'autre et nous éteignons la lumière. A présent, les différences s'estompent. Nous nous sentons bien. Les images de la journée défilent dans ma tête. Mais déjà, le sommeil me rattrape.

Bonne nuit !

 
 
Véro et Eddy
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20 novembre 2008 4 20 /11 /novembre /2008 17:52
 
 
Faisant face au pont, se dresse le majestueux Victoria Falls Hotel. Suffisamment éloigner des chutes pour être à l'abri de l'humidité. L'endroit ne semble pas avoir changé depuis l'époque coloniale.
 
 
Il n'est pas loin de 16 heures. Nous vous invitons à prendre le thé en notre compagnie.
 
De la terrasse on distingue le Zambèze, le pont et on devine les chutes qui forment une ligne de brumes à l'horizon.
 
 

Sandwiches, scones faits maison, pâtisseries et deux grandes théières de thé local.

Par rapport au cadre et au type d'hôtel, la note reste correcte (30 US $).

 
 
Rien que la visite des toilettes est une expérience ! Probablement l'une des dernières chasses d'eau en bois que je verrai de ma vie. Tandis qu' Eddy passe aux toilettes à son tour, un employé de l'hôtel m'invite à visiter la Bulawayo room, l'endroit où jadis, les résidents rédigeaient leur courrier.
 
Nous passons encore un long moment à contempler les lieux. Véro laisse une trace de notre passage dans le guestbook. Il paraît que c'est le dernier bastion de l'ex-Rhodésie.
 
 
Bien! Il est temps de quitter le Victoria Falls Hotel, car comme vous l'avez deviné, ce n'est pas dans l'une de ses chambres que nous passerons la nuit. Nous reprenons la route pour rejoindre le Shoestrings Backpackers ... Le contraste rique d'être désopilant.
 
Véro et Eddy
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16 novembre 2008 7 16 /11 /novembre /2008 19:48
Comme vous avez pu vous en rendre compte, nous avons eu quelques soucis avec les ordinateurs... C'est toujours agaçant quand la technique et/ou le matériel vous lâche(nt ) ... ça râlait sec dans la chaumière. Enfin, peu à peu nous émergeons avec la suite de nos aventures. Encore quelques fois dormir et nous quittons, les chutes Victoria. Mais en attendant, il nous reste encore à vous présenter le pont qui relie la Zambie au Zimbabwe et les fanas du saut à l'élastique.
 

Doctor Livingstone, I presume ?

Durant une vingtaine d'années, cet explorateur et missionnaire organisera plusieurs expéditions dans la région. En juin 1851, il découvre le Zambèze. En effectuant la descente du fleuve, il découvre les Chutes Victoria, le 17 novembre 1855. Il se mettra ensuite à la recherche des sources du Nil.

Épuisé par la maladie, il meurt en 1873 dans le village de Tchitambo, au sud du lac Bangoueolo. Ses serviteurs noirs, refusant de l'abandonner, transportèrent son corps jusqu'à la côte où il fut rapatrié en Angleterre pour être inhumé à Westminster.

Faisant face aux chutes, le pont enjambe les eaux du Zambèze et relie la Zambie au Zimbabwe.

The Pride of Africa est un train de luxe. S'il vous reste 37 495 euros sur votre compte (on peut rêver), vous pouvez toujours embarquer à bord de ce train qui vous mènera de Capetown au Caire (ou l'inverse) en 34 jours. Le train transporte un maximum de 72 passagers dans 36 suites superbement aménagées. Voir le site de Rovos Rail ou cliquez ici . Vérifiez les horaires, car ce train ne circule que très rarement ( une fois par an ).

Mais tandis que les passagers du Pride of Africa sirotent leur apéro, d'autres voyageurs, plus intrépides s'élancent du pont, les pieds liés à un élastique. Ces "yoyo men" effectuent ainsi une chute dans le vide d'une centaine de mètres.

 
Ce plongeon, tête vers le bas, précipite l'amateur de sensation forte vers le fond de la gorge. Il existe une seconde option au cours de laquelle le sauteur est balancé entre les deux versants de la gorge. Pour corser l'affaire, on peut aussi sauter en couple (AAAAAAh!) Que je vous rassure, tout de suite, vous ne nous verrez pas sauter (OOOOOh!)
 
Puis, vient le moment de la récupération. Il faut bien entendu, laisser le temps au récupérateur de descendre. Les intrépides sauteurs patientent donc de longues minutes dans la position de la chauve-souris.
Allez, on remonte le paquet !
 
Véro et Eddy
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5 novembre 2008 3 05 /11 /novembre /2008 20:10
Un petit coup de Tamise... Deux petits coups de Big Ben.
 

Big Ben en chiffres
La hauteur de la tour s'élève à 96 mètres .
L'horloge est composée de quatre cadrans de 7 mètres de diamètre et d'une cloche pesant 13,5 tonnes pour un diamètre de 2,7 mètres et une hauteur de 2,2 mètres.
Le mécanisme de l'horloge pèse à lui seul 5 tonnes et le marteau pèse quant à lui quelque 200kg.
Il faut remarquer que lorsque la lumière au-dessus de l’horloge est allumée, le parlement siège.

 
Une station de métro (Canary Wharf)
 
 
Vision apocalyptique à la Tate modern galery où le flamant rose de 20 mètres de haut d'Alexandre Calder rencontre l'énorme araignée de Louise Bourgeois. Une atmosphère de "Guerre des Mondes"... Un Univers à la Edgar P.Jacobs.
 
 
Ce qui ne coupe pas l'appétit de certains... Surtout pour le five o'clock tea.
 
 
Véro et Eddy
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3 novembre 2008 1 03 /11 /novembre /2008 19:41

 

Nous reprenons notre plume après ce "grand blanc" dans le reportage des chutes Victoria. Une petite escapade d'une semaine dans la bonne vieille Albion, en est la cause. Une fois encore, tous les clichés étaient au rendez-vous: les "royal guards" avec le bonnet en poil d'ours. Poils qui font dresser les cheveux des écologistes.

 

Au début, tout le monde s'imaginait que l'officier observait quelque chose dans les airs. On aperçoit d'ailleurs, sur la photo, certains civils qui pointent leur nez vers le ciel. En fait, le royal guard doit relever la tête s'il veut distinguer quelque chose sous les poils de son bonnet.
 
 
Mais l'attente en valait la peine. Nous avons eu droit à un défilé "tarataboum soin soin" très haut en couleurs.
 
 
Attention ! On tourne !
 
Véro et Eddy
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23 octobre 2008 4 23 /10 /octobre /2008 18:00
 
 
 
 
 
 
Véro et Eddy
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