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Avril 2018 : Ce blog, développé sur une plateforme gratuite, et actif de 2005 à 2011 reçoit encore entre 50 et 100 visites par jour. Mais, comme il est envahi par la publicité, depuis 2012 nous alimentons un nouveau projet sur www.veroeddy.be . Sous ce même nom vous nous trouverez sur les réseaux sociaux où ce sera une grande joie de communiquer avec vous  C'est toujours un plaisir de lire vos découvertes et d'échanger sur notre intérêt partagé pour le voyage. Si vous avez une question, n'hésitez pas à nous laisser un commentaire ou à nous envoyer un mail,

A bientôt.

Véro et Eddy

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Nous sommes ravis de vous accueillir virtuellement dans notre espace voyage. Nous avons ouvert ce blog de voyage en 2005, mais nous bourlinguons ensemble depuis bientôt 40 ans. Nous espérons  vous divertir avec nos récits, mais surtout, vous donner envie de découvrir le monde, vous aussi. Si vous souhaitez poser une question, et que vous n'êtes pas sur le réseaux sociaux, notre mail :  C'est ici
Merci pour l'intérêt que vous portez à nos aventures. Bonne découverte.  
Véro et Eddy

11 décembre 2008 4 11 /12 /décembre /2008 15:04

Au fil de l'eau, nous croisons quelques mokoros locaux. En cette saison on supporte son manteau en léopard synthétique.

 
 
Nous sommes assis sur des sièges posés à même la pirogue. Le mokoro fend l'eau et ouvre un passage dans les roseaux, ce qui provoque l'envol d'une grande variété d'oiseaux: aigrettes, hérons, cormorans, calaos, martins-pêcheurs, aigles pêcheurs, ...
 
 
Nous progressons silencieusement entre les roseaux. Dès qu'une surface un peu plus dégagée apparaît, nous apercevons des nénuphars. .
 
 
A certains endroits, nous nous faisons assaillir par des volées de mouchettes qui atterissent sur nos vêtements et sur nos sacs. J'ai l'impression d'être à bord d'un bateau-mouche !
 
 

Nous accostons finalement sur une île. Nous mettons pied à terre et entreprenons une marche de deux heures, accompagnés par notre guide, pisteur d'animaux.

 
 
Eddy et Véro
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10 décembre 2008 3 10 /12 /décembre /2008 21:02
 

Ce matin, pas une seconde à perdre. Tout le monde debout ! Aujourd'hui, nous vous emmenons dans le delta de l'Okavango. Nous nous précipitons hors de la tente...

 
 
Un brin de toilette s'impose avant de démarrer la journée...
 
 
 
On n'oublie pas de mettre la corde pour signaler que la salle de bain est occupée...
 
 
Un petit détour par les sanitaires... et nous voilà fin prêt pour partir en exploration.
 
 
On nous emmène au lieu d'embarquement des pirogues. Eddy vérifie si son appareil photo est bien à l'abri dans son sac étanche ... On n'est jamais assez prudent !
 
 
Notre guide installe deux sièges dans la pirogue et nous invite à prendre place à bord. C'est le moment de bien garder son équilibre... sans quoi, après la douche, ce serait le bain.
 
 
Commence alors une traversée d'environ une heure, au cours de laquelle nous apercevons d'autres piroguiers. Les roseaux qui nous entourent nous empêchent parfois de distinguer leurs embarcations. Les hommes semblent alors suspendus entre ciel et roseaux, offrant au regard un étrange ballet. Les longues perches s'agitent dans les airs, les silhouettes glissent au-dessus des eaux.
 
 
 
Pousser une pirogue à travers les roseaux durant plus d'une heure demande au piroguier beaucoup d'énergie. Les femmes sont également de la partie.
 
Entre les roseaux, il nous arrive de distinguer sur les berges des silhouettes fugitives.
 
 
Véro et Eddy
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8 décembre 2008 1 08 /12 /décembre /2008 18:50
 
Il est vrai que l'endroit m'a inspiré. Voici donc deux illustrations tirées de mon sketch book.
 
 

The old bridge

 
 
Le bar
 
 
Véro et Eddy
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7 décembre 2008 7 07 /12 /décembre /2008 20:03
 

Nous quittons Kasane et la rivière Chobe pour nous rendre à Maun près du delta de l'Okavango. Debout à 4h45 du matin, nous préparons notre départ. Un taxi arrangé la veille par la réception de l'hôtel nous embarque à 5H30. Cinq minutes suffisent pour nous conduire à la station de bus. Nous payons 40 poulas. Etant donné l'heure, le chauffeur mérite bien le double de la course habituelle. Le premier bus est déjà parti. Nous parvenons à nous caser dans le second (un mini-bus d'une trentaine de places.

Dès la sortie de Kasane, nous rencontrons un éléphant. Quelques kilomètres plus loin, c'est un léopard qui nous fait la surprise de traverser la route. Le véhicule s'immobilise à la hauteur du félin. L'ensemble des passagers se presse aux vitres. L'animal est tapi dans les herbes qui longent la route. On ne pourraît dire qui du léopard ou des occupants du véhicule, est le plus étonné. Tout le monde est d'accord sur un point : c'est la première fois qu'ils rencontrent un léopard en liberté. Mais il faut respecter l'horaire ... et donc, nous n'avons pas le temps de prendre une photo.

 
 

Sur la route entre Nata et Maun, il nous faudra descendre du car à plusieurs reprises pour satisfaire la réglementation locale: contrôle des identités, passage des chaussures dans un désinfectant. Nous arrivons à Maun vers 14h30.

Nous avons réservé une tente dans un charmant petit coin de nature situé à 11 kilomètres du centre de Maun. Cet endroit idyllique se nomme "Old bridge backpackers".

Helena mène l'affaire avec son époux David. L'enthousiasme du couple donne à cet endroit une atmosphère tellement chaleureuse que nous y avons prolongé notre séjour.

 

Comme partout, l'endroit le plus fréquenté est le bar où les locaux forment plus de la moitié de la clientèle.

 
 

Notre tente fait face à la rivière. Les sanitaires et les douches sont à l'extérieur protégés par des murs en bambou. Les installations se trouvent chaque fois à l'extrémité d'une forme en U. Si les entrées ne possèdent pas de porte, une corde tendue en travers du passage signale immédiatement l'occupation de l'endroit.

 
 

A proximité du camp, nous avisons une série de canots à moteur.

 
 

Nous sympathisons immédiatement avec 3 Anglais avec qui nous partons en balade sur la rivière. A la tombée du jour les animaux s'approchent de l'eau. Phacochères, girafes, kudus, impalas sont au rendez-vous. Dans les roseaux, les oiseaux sont nombreux.

 
 
 
 
 

Encore une journée bien remplie s'achève sous les cieux africains.

 
Véro et Eddy
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6 décembre 2008 6 06 /12 /décembre /2008 19:29
 

J'espère que nous avons pu vous communiquer le plaisir que nous avons eu d'aborder la vie sauvage à partir d'une embarcation. Outre le fait de ne pas être enfermé dans un véhicule, c'est aussi la découverte de la vie animale aux abords de la rivière.

 
KASANE : Parc Chobe, 5 heures du matin.

Il fait glacial ce matin. Nous avons emporté tout ce qui peut nous tenir au chaud. Plusieurs couches de vêtements sont nécessaires, car la balade se fait en camion ouvert. Ah, oui, j'oubliais de vous dire: nous vous emmenons dans un safari matinal. Il paraît que c'est un excellent moment pour observer les animaux. ( les animaux ne peuvent pas en dire autant pour l'homme, sauf ici bien sûr). Bref, nous sommes une quinzaine à nous plonger dans l'aventure.

Le camion s'ébranle. Nous filons à vive allure en direction de l'entrée du parc. Un vent glacial s'engouffre sous les vêtements. Le froid fouette le visage. Je tire mon pull jusque sous les yeux, et je relève mon capuchon qui vient recouvrir mon galurin. Et tandis que je grelotte, j'observe du coin de l'oeil un adolescent en chemise à manches courtes. Le froid ne semble pas avoir de prise sur lui.

Ce matin, les animaux ne semblent pas vouloir partager l'avis du guide qui affirme que c'est la meilleure heure pour les observer. Au loin, nous distinguons un hippopotame solitaire qui se laisse gondoler au fil de l'eau.
 
Peu à peu la lumière prend l'avantage et nous commençons à nous réchauffer. Nous croisons enfin les premiers représentants du monde animal : un buffle, des gazelles, des oiseaux, ...
 
 
Grâce aux jumelles nous pouvons observer çà et là quelques scènes: un troupeau d'éléphants progresse sur le flan de la colline. Plus près de nous un phacochère semble se rendre à un rendez-vous important.
 
Tiens! J'ai trouvé quelque chose à me mettre sous la dent.
 
Véro et Eddy
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5 décembre 2008 5 05 /12 /décembre /2008 16:00
Toutes les embarcations rentrent aux camps. Les derniers rayons de soleil s'écrasent sur la ligne d'horizon. Les ombres s'étirent sur le sol. Les clapotis de l'eau riment avec les reflets scintillants. Le ciel s'embrase peu à peu. Les températures font la culbute. Malgré que l'on se capuchonne, la froidure se glisse sur la peau. Peu à peu, le jour fait naufrage. La nature s'immobilise... Seuls quelques oiseaux s'affichent à contre jour dans le ciel.
 
Véro et Eddy
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4 décembre 2008 4 04 /12 /décembre /2008 16:10
 
Le voile de la nuit tombe sur le site de la rivière Chobe. Les oiseaux prennent possession des arbres et notre barge reprend le chemin du retour.
Le pilote s'arrête une dernière fois à la hauteur d'un troupeau d'éléphants qui s'abreuve.
 

En route, nous assistons à un spectacle particulier: un groupe d'éléphants quitte l'île et traverse la rivière Chobe pour débarquer sur l'autre rive. Tandis que quelques pachydermes en profitent pour barboter, d'autres soulagent leurs démangeaisons.

 
 
Whaaaah ! ça chatouiiiiillle à l'arrière train.
 
Véro et Eddy
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3 décembre 2008 3 03 /12 /décembre /2008 16:00

Tandis que nous croisons d'autres embarcations, quelques buffles continuent imperturbablement à brouter. Sur la rive, un éléphanteau se tâte... J'traverse .... Je n'traverse pas ?

 

 

Et puis, tout à coup un oeil noir nous regarde. C'est celui d'un hippopotame. Ses oreilles titillent .

 

En plongée toute ! Allez, on se bouche les fosses nasales !

Un hippo se gonfle à bloc. Les narines dilatées, il remplit ses poumons d'air.

Avec son air bon enfant, l'hippopotame semble inoffensif. Et pourtant, c'est l'animal le plus dangereux pour l’homme.

En effet, l’hippopotame est responsable du plus grand nombre de victimes humaines par an dans le monde. On ne compte plus les accidents: retournement de bateaux, piétinements en sortant de l'eau. On n'imagine pas que cet animal de plus de deux tonnes puisse s'élancer hors de l'eau à 45 km/h.
Notre embarcation reste donc à bonne distance des hippos, surtout qu'ils se déplacent souvent en troupeaux d'une trentaine d'individus.

 
Véro et Eddy
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2 décembre 2008 2 02 /12 /décembre /2008 17:00
 
 

Mais les éléphants ne sont pas les seuls locataires de l'île Sedudu Kasikile. Les crocos sont bien présents. Immobiles mais toujours prêts à faire le ménage.

 
 

Serait-ce un sourire ou l'espoir de me voir tomber à l'eau ? Allez savoir à quoi pense un croco !

Tandis que le pilote manoeuvre la barge, nous observons une grande quantité d'oiseaux (marabouts, martins pêcheurs,

 
 
 
Le marabout
Le martin-pêcheur porte bien son nom.
 
Véro et Eddy au Botswana
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1 décembre 2008 1 01 /12 /décembre /2008 17:00

 

Depuis vendredi, les plaisirs d'hiver envahissent le centre de Bruxelles. Flâneurs, curieux et touristes arpentent les rues qui les mènent de la Grand- Place au Marché aux poissons. Guirlandes, fausse neige et bulles de savon sont au rendez-vous. Artisanat et nourriture se partagent les cabanes. Marchands de boudins de Noël, boutiques garnies de jouets en bois, etc. En fond sonore, une petite formation dixieland joue des airs rythmés.
 
 
 
 
 
 
Et puis, pour les amateurs, il y a aussi les traditionnels "croustillons" et beignets saupoudrés de sucre impalpable.
 
 
A ceux qui ont l'estomac dans les talons, on leur propose une portion de choucroute.
 
 
Et pour les vrais "Belchs", il y a aussi le traditionnel cornet de frites, une fois, avec une clotte de mayonnaise. Attention ça tache !
 
 
Eddy et Véro à Bruxelles
 
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