25 février 2010
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Oui, je sais certains regards perçants auront remarqué que nous sommes sur un emplacement pour handicapé... "La chute des chutes" car ce sera le dernier article consacré aux Niagara Falls. Accrochez-vous, car le souffle de l'eau est vraiment impressionnant. Les photos qui suivent ont été prises avec l'appareil photo numérique étanche de Véro ( Le Panasonic FT1 LUMIX ) |
DMC-FT1 Appareil photo tout-terrain Objectif Grand Angle 28 mm LEICA DC VARIO-ELMAR stabilisé F3.3-5.9 (équivalent 35mm : 28-128mm) |
Seuls quelques intrépides, dont Véro, s'élancent vers des zones plus qu'humides. |
Je suppose que c'est une plaisanterie, car on ne pourrait pas allumer une cigarette dans des conditions pareilles. |
Avant de quitter les Niagara Falls, voici encore quelques photos prises par Eddy à la sauvette. On reconnaît d'ailleurs tout de suite le regard du reporter à la recherche d'un sujet intéressant. |
Il y a ceux qui photographient les chutes... |
Il y a ceux qui photographient ceux qui regardent les chutes... |
Il y a ceux qui visitent "incognito" . |
Allez! Je vous quitte. Il est temps de retraverser la frontière. |
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dans
USA
24 février 2010
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08:52
Scéance de photo obligatoire devant une toile tendue représentant les chutes. |
Chuuuuut ! S'il vous plaît i Si tout le monde se met devant les chutes, on ne verra plus rien ! |
Après une courte attente, nous empruntons un ascenseur qui nous mène quasi au niveau de l'eau. La promenade longe la rivière, mais personne ne s'attarde à cause de l'odeur. La colonie de palmipèdes qui s'est installée du côté américain en est la cause. En file indienne, les visiteurs entament la balade qui les mènera aux pieds des chutes. L'accès comporte 3 niveaux. Escaliers et terrasses prennent appui sur les rochers. Cet échafaudage est reconstruit chaque année à la fin du mois de mai et démantelé à chaque fin de saison touristique, c'est-à-dire à la fin du mois d'octobre. |
Véro n'a pas peur de se mouiller. |
Published by veroeddy
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dans
USA
21 février 2010
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15:49
Ce matin, nous prenons notre petit déjeuner à l'hôtel. Seules deux Japonaises nous ont devancées dans la salle du Fairview Restaurant situé au 10ème étage. Ici (je l'ai remarqué à de nombreuses reprises) comme le service n'est pas compris, il existe encore. On nous donne la meilleure table avec une superbe vue sur les chutes. Il y a un buffet (Eddy le prendra). Pour ma part, mon choix était fait avant même de passer la porte: des oeufs bénédicte. |
L'assiette que l'on m'amène est immense. On doit me prendre pour Polyphème. Deux crumpets garnis chacun d'une épaisse tranche de bacon et du traditionnel oeuf poché nappé de sauce hollandaise. Le tout est accompagné de cubes de pommes de terre frits, de quartiers de melon et de fraises. On ne peut pas dire que c'est mauvais, mais cela n'a pas d'allure. La vue panoramique sur les chutes compense cependant largement la décoration de l'assiette. |
Après cette expérience gastronomique, nous nous préparons à passer aux Etats-Unis. Le pont est exactement en face de l'hôtel. |
Pour quitter le Canada en direction des USA, le service d'immigration (côté canadien) est constitué par un tourniquet automatique qui fonctionne avec deux pièces de 25 cents. Ce péage donne accès au pont qui enjambe la Niagara River. |
Sur le pont, la vue est vraiment superbe. A gauche, les USA, à droite, le Canada. |
Au milieu du pont: Eddy aux States et Véro au Canada. |
Nous arrivons au poste d'immigration des USA. L'officier en charge nous demande si nous avons un visa... Non! Son regard balaie nos passeports. Son oeil se fige en apercevant notre visa zimbabwéen de 2008. - "Zimbabwe" ! s'exclame-t-il. And you intend to go through without any visa ? Je lui réponds que nous sommes belges et qu'un visa n'est pas nécessaire. Les pupilles de l'officier se dilatent sous l'influence d'un soupçon d'incrédulité. |
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Après une seconde inspection des passeports, il nous remet à chacun un questionnaire. Outre les renseignements habituels, on nous y demande si nous avons l'intention de nous livrer à des activités terroristes, si nous transportons des armes et si nous avons comme projet de travailler illégalement aux States. Le questionnaire se termine par une déclaration de bonne foi. Si nos sacs ne sont pas fouillés, nous devons par contre nous soumettre au scan de nos empreintes digitales. On nous tire le portrait avec un appareil numérique. Dernière formalité, Il nous faut déranger une brave dame dans sa lecture pour lui allonger 6 dollars US par personne. La porte des Etats-Unis nous est ouverte! |
A la sortie du bureau de l'immigration, le parc se trouve sur la droite. C'est un lieu agréable et paisible. Très différent de celui qui lui fait face du côté canadien. On s'y promène à pied, en vélo ou en petit trolley qui coûte 2 dollars la journée. L'endroit est immaculé. |
Le chemin qui longe la rivière mène à une série de ponts qui permettent d'atteindre Goat Island, une île verdoyante à partir de laquelle on peut approcher les chutes |
Un balcon surplombe l'attraction la plus ancienne du continent: "cave of the wind". Dans le film "Niagara", Marilyn y donne rendez-vous à son amant. Cela dit, depuis les années 50, les choses ont un peu changé. Aujourd'hui, les ponchos en plastique jaune remplacent les cirés. |
Après avoir déboursé 11 dollars nous pénétrons dans un vestiaire aménagé avec des bancs. En plus du poncho, nous recevons une paire de sandales antidérapantes et un sac pour y fourrer nos chaussures. |
Nous voilà à nouveau déguisés en poussin, mais en poussin américain, cette fois. |
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USA