10 août 2007
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La ville de Gazantiep constitue un excellent point de chute pour préparer le passage de la frontière turco-syrienne. Les hôtels destinés surtout aux hommes d'affaire locaux sont propres et confortables. |
L'anglais étant peu parlé, on nous adjoint quelqu'un pour nous aider. De proche en proche, celui qui nous prend en charge indique notre destination à celui à qui il nous confie. Première étape, trouver un dolmus vers la station de bus. |
Le dolmus est un moyen de transport collectif. En 1976, il s'agissait de vieilles américaines des années 50 dans lesquelles on s'entassait à 10 ou 12. De nos jours, ce sont des minibus dans lesquels chaque passager occupe un siège. Lorsque je demande si nous pouvons les emprunter avec des bagages, la réponse fuse : "What do you think, this is Turkey !" Au terminal, Eddy a vite fait de nous trouver 2 places dans un bus en partance pour la ville frontalière de Kilis. De cet endroit, nous pensons louer une voiture avec un chauffeur jusqu'à la ville d'Alep, en Syrie. L'affaire s'organise dans une agence de location dont le proprétaire me semble trop empressé pour être honnête. Un engin qui a dû être une voiture il y a une trentaine d'années s'avance. Le pare-brise est fendu en étoile sur toute sa surface, les fenêtres et les portières n'ont plus leurs mécanismes intérieurs. Lorsque j'y prends place, mes fesses s'enfoncent de 50 centimètres dans un nuage de poussière. Au moment où nous démarrons, l'habitacle s'obscurcit. C'est le coffre, à l'arrière de la voiture qui vient de s'ouvrir. je prononce alors, avec fermeté, le mot turc que j'ai aperçu sur les panneaux routiers à l'approche d'un croisement : "DUR" ! Le chauffeur s'arrête. Je me libère grâce à un coup de coude dans la portière. Je retire mon sac du coffre ouvert et je me dirige d'un pas décidé vers les bureaux de l'agence. Le responsable préfère s'arranger avec Eddy. Il lui promet une mercedès dans les dix minutes. |
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Le compteur a rendu l'âme à 184 615 km et les pneus sont d'origine... mais je reconnais sur le véhicule le sigle de la marque allemande. Pour parcourir 65 kilomètres, le véhicule fera l'affaire. |
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9 août 2007
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cabanes destinées aux gardiens du site. |
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Le second regard (le matin du second jour). |
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4 août 2007
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Tôt matin, nous quittons la gare et montons à bord d'un "otokar" pour le "sekir merkez" (centre ville). Tandis que je me mets en quête de l'office du tourisme, Véro s'installe à l'arrêt d'autobus avec les bagages. Voici ce qu'elle écrit dans son carnet de notes: "Eddy part à la recherche du bureau du tourisme. Pendant ce temps, j'observe les passants. Les hommes sont en pantalon et chemise. Les femmes sont vêtues à l'européenne (jeans, tee-shirt) ou en long manteau avec un foulard sur la tête. Toutes les femmes gardent leurs distances vis à vis de la gente masculine. Dans le bus, elles resteront debout, si les seules places disponibles sont des banquettes à partager avec un homme. |
Certains hommes portent une sorte de sarouel. La tenue se complète d'une casquette ou d'un calot de laine. Les anciens égrainent bien souvent un chapelet entre leurs doigts." |
Un bureau du tourisme (non officiel), tenu par un nommé Kemal nous propose de nous conduire avec un minibus jusqu'à Nemrut Dag. Kemal est plutôt gérant d'une agence de voyage. Pour un montant de 80 euros (pour nous deux), il nous propose de nous joindre à un petit groupe de huit personnes. Le prix comprend le transport jusqu'au site de Nemrut Dag, l'hébergement dans un hôtel situé au pied de la montagne, la visite du site, le repas du soir, une seconde visite du site au lever du soleil, le petit déjeuner et le retour vers Malatya. Après 30 heures de train et une nuit sur un banc, nous optons pour la solution qui se présente. Le départ est prévu à midi, ce qui nous laisse quelques heures pour découvrir les rues de Malatya. |
Au marché, les fruits sont de première fraîcheur (cerises, abricots, tomates, pastèques, ...) |
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2 août 2007
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Le bazar égyptiens ou le bazar aux épices...Toutes les senteurs de l'Orient viennent vous titiller les narines. |
Teintes et couleurs s'alignent de boutiques en boutiques. Pâtes d'amandes, loukoums à la rose et à la pistache, noisettes engluées dans une pâte à base de carotte. |
Je m'arrête devant l'étal d'un marchand de loukoums. La moustache soulignée d'un sourire, ce dernier me lance: "Loukoums paparazzi" ? |
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