1 avril 2006
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17:41
(suite) |
Nous ne faisons pas comme sur mon dessin... Nous parvenons à contourner le point d'eau. Nous distinguons un puits de lumière. |
Un immense escalier métallique s'élance vers la cîme des arbres. ??? Nous caracolons jusqu'au sommet... !!! |
Nous émergeons sur une passerelle ... Nous sommes dans l'une des serres les plus vastes du monde... Nous sommes à Londres ... Plus exactement dans les Kew gardens... à voir |
L'aventure commence où l'on est. |
31 mars 2006
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13:19
Aujourd'hui, je vous entraîne dans une toute autre aventure. En dehors des sentiers battus... Là où il n'y a plus de sentier du tout: la jungle. |
Nous nous enfonçons peu à peu dans un univers de chlorophyle. Nous devons être prudents car dans ce chaos de végétaux, nous pourrions perdre assez rapidement tout point de repère. |
Mousses et fougères nous cernent. Nous progressons difficilement dans ce milieu qui n'est pas le nôtre. |
Des bananiers nous barrent le passage. Il faudra les contourner... mais pour cela il nous faut grimper le talus et prendre de la hauteur. L'escalade ne se fait pas sans mal, mais le point de vue est impressionnant. J'ai du mal à respirer. Je souffle comme un phoque. Tout effort devient pénible dans cette atmosphère chaude et humide. |
Au détour de grandes palmes, de fins filets d'eau voilent une paroi rocheuse. Contrairement à ce que je m'imaginais, tout est calme. Seul le ruissellement de l'eau rompt le silence de cette nature envahissante. |
Nous décidons de passer de l'autre côté du cordon d'eau. Nous débouchons devant un large plan d'eau couvert de nénuphars. Traverser ne nous semble pas possible... Mais pas question de faire demi tour.
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25 février 2006
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17:22
Mais où diable sont-ils passés? C'est justement la question que nous vous posons. Alors tous les petits futés (que vous êtes) vous aurez bien une petite idée... N'hésitez pas à vous lancer. Vous savez qu'avec nous...tout est possible. |
C'est de toute évidence un endroit où la sécurité s'impose. |
Envoyez-nous votre proposition ou vos propositions Eddy |
5 février 2006
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17:03
| Nous reprenons la main, le temps de vous présenter une nouvelle page d'anthologie. Nous retrouverons, dès la semaine prochaine, notre rubrique "invité(e) du blog" avec une série de nouveaux reportages. Dès à présent, nous remercions tous ceux et celles qui courageusement nous confient leurs articles et leurs photos pour le plus grand plaisir de tous. Voyageurs et voyageurs-surfeurs nous vous souhaitons d'excellents moments en notre compagnie et nous vous encourageons à nous laisser vos impressions et vos commentaires. Eddy et Véro |
L'objet à convoyer n'était autre qu'un sac birman, tel le sac bleu que l'on peut voir sur la première photo. Rien de bien dangereux. Rendez-vous fut pris pour le lendemain. Avant d'accepter, nous désirions voir le sac en question. Nous ne voulions pas troquer notre statut de "voyageur" contre celui de "pigeon voyageur". Quant à notre expéditeur birman, il désirait écrire un petit mot d'accompagnement. |
| Au cours de la journée suivante nous acceptâmes donc la mission. Enfoui au fond de nos bagages, le sac birman commença alors son grand voyage. A la fin du mois d'août, les vacances terminées, le sac nous accompagna en Belgique. Afin de ne pas faillir à notre promesse, nous l'envoyâmes, sans trop tarder, à son destinataire londonien (nous l'appellerons Henry, pour conserver son anonymat). Le sac prit donc la direction de la bonne vieille ALbion. |
Nous restâmes sans nouvelles du sac durant plusieurs mois. Puis, au mois de mars, une lettre de Henry atterrit dans notre boîte aux lettres. Chose étrange, elle avait été postée en Australie. Dans son courrier, Henry nous expliqua ce qui s'était passé: | |
Lorsque le sac arriva, vers le 3 septembre, au domicile londonien de Henry, ce dernier avait quitté la Grande Bretagne pour s'installer à Cape Town en Afrique du Sud. Un ami de Henry se chargea de faire suivre son courrier. Mais, pas tout de suite... |
Le sac birman n'arriva en Afrique du Sud qu'au mois de décembre. Entre temps, Henry avait déménagé pour des raisons professionnelles. Il s'était fixé en Australie. Henry qui habitait à présent Sydney, ne réceptionna le colis qu'au mois de février. Le sac birman avait donc effectué le voyage : Birmanie/ Thaïlande/ Belgique/ Grande-Bretagne/ Afrique du Sud/ Australie. |
Ce sac birman est sans doute le seul à s'être baladé sur 4 continents (Asie - Europe - Afrique - Australie) en si peu de temps, mais aussi celui qui a coûté le plus à son destinataire... Qui sait, il figurera peut-être un jour dans le livre des records. |
6 juillet 2005
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| Une vaste esplanade sépare le terminal 1 du terminal 2 de l'aéroport. C'est en débouchant sur cette place bordée de bâtiments en verre que nous découvrons la structure qui leur sert de toit. Tandis qu'Eddy emprunte un escalier pour prendre une vue de cet ensemble architectural, j'aperçois à travers les baies vitrées à gauche les cimes d'un groupe de palmiers. |
Il n'en faut pas davantage pour titiller ma curiosité. Eddy sur les talons, j'ai vite fait de repérer l'ascenseur qui nous emporte vers le lobby de l'hôtel Kempinsky. Palmiers et géraniums plantent (sic !) le décor du bar. Ça tombe bien, c'est l'heure de l'apéro et nous avons une heure d'attente avant le vol pour Bangkok. Vero |
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5 juillet 2005
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| Comme le prétend notre ami Klaus : "Pour voyager, il n'y a que 3 choses essentielles à ne pas oublier : les passeports, les billets d'avion et l'argent." Un coup d'oeil à nos sacs nous indique que nous emportons plus que l'essentiel. Arrivés à l'aéroport, le verdict tombe : 62kg. Le billet prévoit 20 kg de bagages par personne. Il y a du supplément... dans l'air ! Véro argumente (moins 10 kg), expose (moins 5 kg), discute (allez encore moins 5),... convainc (et hop, 2 petits derniers). L'employée finit par proposer un arrangement : 6 kilos, uniquement sur le vol Bruxelles-Munich. Au moment de prendre congé, elle nous lance : "Ah, si tous les clients étaient aussi patients que vous !" |
Plus légers de 45 euros nous embarquons sur le vol de la SN. "L'excès nuit en tout", telle pourrait bien être la devise de la SN. Car, si la compagnie a consenti à réduire la facture pour les bagages, elle s'intéresse aussi à notre éventuelle surcharge pondérale en nous proposant un snack composé de 2 radis, 5 carottes et une tomate cerise à tremper dans 3,1 cm3 de dressing light. Suggestion : pour faire plus light, on aurait pu couper les réacteurs à mi-chemin et planer jusqu'à Munich. Eddy |
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