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Bienvenue

Avril 2018 : Ce blog, développé sur une plateforme gratuite, et actif de 2005 à 2011 reçoit encore entre 50 et 100 visites par jour. Mais, comme il est envahi par la publicité, depuis 2012 nous alimentons un nouveau projet sur www.veroeddy.be . Sous ce même nom vous nous trouverez sur les réseaux sociaux où ce sera une grande joie de communiquer avec vous  C'est toujours un plaisir de lire vos découvertes et d'échanger sur notre intérêt partagé pour le voyage. Si vous avez une question, n'hésitez pas à nous laisser un commentaire ou à nous envoyer un mail,

A bientôt.

Véro et Eddy

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Nous sommes ravis de vous accueillir virtuellement dans notre espace voyage. Nous avons ouvert ce blog de voyage en 2005, mais nous bourlinguons ensemble depuis bientôt 40 ans. Nous espérons  vous divertir avec nos récits, mais surtout, vous donner envie de découvrir le monde, vous aussi. Si vous souhaitez poser une question, et que vous n'êtes pas sur le réseaux sociaux, notre mail :  C'est ici
Merci pour l'intérêt que vous portez à nos aventures. Bonne découverte.  
Véro et Eddy

5 septembre 2006 2 05 /09 /septembre /2006 21:06

Mais aujourd'hui, point de commentaires, point de mots ni de phrases, les images se suffisent à elles-mêmes.

 
 
 
 
Eddy
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4 septembre 2006 1 04 /09 /septembre /2006 19:35
Hier nous avons vu la préparation des lattes de bambou et le tressage:
Aujourd'hui, nous vous présentons les ateliers en plein air, le stockage des nattes et le service de livraison... ( c'est un peu comme chez Ikéa, non ?). Commençons par les ateliers en plein air.
Accroupis, des heures durant, les ouvriers tressent le bambou, souvent en famille.
Le travail terminé, les nattes sont portées jusqu'au bord de la route. Gestes, des centaines de fois répétés au cours de l'année.
En cette fin d'après-midi, les chemises épongent la transpiration des corps. Une dernière fois monter le talus et le compte est bon.
Un dernier effort pour redresser la structure de bambou. Le long de la route, la production de la journée s'entasse. Des liasses de nattes attendent d'être enlevées.
Lorsque le soleil joue à cache-cache avec l'horizon, les nattes sont chargées sur un camion.
Elles seront étendues sur le plancher des maisons ou serviront de cloisons ou de murs aux habitations.
 
Eddy
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4 septembre 2006 1 04 /09 /septembre /2006 00:16
tressage du bambou

On vous invite à poursuivre notre découverte des rues, ruelles et sentiers de Bhamo. Dans cette localité, la vie s'écoule au rythme du fleuve.

De nouvelles rencontres nous attendent aux détours des chemins. Ici, on tresse le bambou pour réaliser des nattes qui serviront à couvrir le sol ou à confectionner les murs des maisons.
 
 
 
 
 
 
( à suivre )
Eddy
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2 septembre 2006 6 02 /09 /septembre /2006 20:44

Nous déposons nos sacs à Bhamo. Nous prenons un peu de temps pour nous fondre dans cette ville située en bordure du fleuve.

Pendant quelques jours, nous allons flâner, aller à la rencontre des habitants, goûter la cuisine locale, observer tout en sachant qu'à notre tour nous serons observés... c'est la loi de l'aventure " observer et être observé"...

Découvrir ce petit coin du monde et vous le faire partager... Quoi de plus agréable que de partager des expériences, des sensations, des sentiments, des souvenirs ?
Allez ! On se lance !

 
Première rencontre ...
Des robes de moines usagées (et non pas des robes de moines usagés) sèchent au soleil. Exposées au fleuve, elles virevoltent au vent léger. L'endroit est propice à la méditation. Tandis que les clochettes suspendues au sommet du pagodon teintent, deux moinillons quittent le monastère, des cantines à compartiments dans les mains. Ils s'en vont chercher de la nourriture sous le regard des statues du Bouddha.


Nous quittons le temple et nous poursuivons notre découverte de Bhamo
(et non "Bomma" ce qui signifierait grand-mère" en bruxellois"). De petites calèches sillonnent les rues de la ville. Soudain, notre attention est attirée par des artisans qui s'attellent à la construction d'une statue.
Sous un toit en taule ondulée, nous découvrons l'atelier. Les artistes travaillent à la réalisation d'un cheval, grandeur nature. Le ciment est humidifié pour effectuer quelques retouches. La documentation et les plans pour effectuer cette sculpture sont quasi inexistants. Tout se fait "intuitivement".
 
L'atelier a déjà réalisé d'autres oeuvres qui ont trouvé leur place dans la ville. Comme ces trois statues qui font face à la grande pagode de la ville.

Lorsque le soir tombe, nous nous mettons en quête d'un endroit pour manger. A quelques pâtés de maisons de notre hôtel, nous trouvons notre bonheur.

Les cuisines du restaurant donnent sur la rue. Il y règne une grande effervescence. Les commandes sont satisfaites en quelques minutes: plats à servir aux clients attablés (comme nous) ou plats à emporter.
Les plats sont délicieux, mais le potage me fait suer comme un phoque à qui on donne un bain de vapeur. En quelques minutes, je ressemble à un Dim Sum. Allez ! Bon appétit et à demain !
 
Eddy
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30 août 2006 3 30 /08 /août /2006 21:37
Le fleuve est aussi un lieu où l'on peut faire des rencontres. Elles sont quelquefois brèves et rapides... comme cette embarcation qui nous dépasse à vive allure dans un vacarme d'enfer. Les passagers s'agrippent où ils peuvent, certains tiennent leur chapeau.

Le pilote de ce bolide, n'est autre qu'un moine qui semble prendre beaucoup de plaisir à pousser le moteur aux limites de ses ressources.

 

Il passe en trombe devant nous et fend les flots en creusant un sillon d'écumes. Le fleuve fera quelques hoquets avant de s'en remettre.

C'était, rien que pour vous... le "speedy monk" qui vient de passer. Cela n'a pris que quelques secondes.

Eddy
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29 août 2006 2 29 /08 /août /2006 21:23
irrawaddy

Nous poursuivons notre descente de l'Irrawaddy en reprenant l'expression d'Anne-Marie: "croisière sur le fleuve chocolat "

Dès l'aube, les premiers convois s'étirent au fil de l'eau. Le fleuve s'éveille. Une barge tire à sa suite un chapelet de pirogues.
Tout au long de la journée, les bateaux défileront sur le fleuve. Sous le soleil ou sous la pluie battante, les passagers abriteront leurs sacs et leurs paniers: précieux achats ou précieuses marchandises. Quelques embarcations surchargées transféreront leur cargaison sur d'autres navires plus larges, plus grands, qui iront à leur tour décharger le contenu de leurs cales sur quelque débarcadère en bordure de l'Irrawaddy. Tout le long de son cours, des villageois attendent l'arrivée d'un bateau.
 
Voile bleue ou voile de fortune, assemblage de toiles de sac... tous fendent les eaux du fleuve. Tous avancent sur cette nappe lumineuse qui s'étire entre les deux rives. Cargaisons bâchées ou livrées aux intempéries, toutes sont attendues quelque part.
Bateau flottant sur une mousse de chocolat. Voile et parapluies abritent les passagers des rayons de soleil. Le fleuve s'élargit peu à peu. Les berges font le grand écart.
On se croise, on se fait signe, on se sourit comme d'anciens amis qui se retrouvent.

Navire qui transporte des passagers, sorte d'omnibus fluvial qui s'arrête à la demande. Un signe de la rive et le bateau accoste pour charger et décharger des colis ou des passagers. Parfois, un rameur vient à la rencontre des passagers. Ceux-ci sont heureux car, ils sont arrivés à destination.

La mousson se mêle de la partie. Le ciel s'obscurcit. Irréel dans ce décor de brumes, un remorqueur pousse deux barges couvertes de troncs d'arbre.

Mais déjà la journée s'achève. La lumière décline petit à petit. Le bateau va s'amarrer pour la nuit. Le trafic fluvial marque un temps d'arrêt.
Eddy
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28 août 2006 1 28 /08 /août /2006 21:06
les embarcations sur l'Irrawaddy

Tout ce qui a la vocation de flotter sillonne les eaux boueuses de l'Irrawaddy.

radeau

Le radeau le plus élémentaire est constitué de l'assemblage de tiges de bambou et n'a pas pour mission le transport de personnes qui préfèreront d'ailleurs le luxe d'un navire de croisière.

Les autres embarcations qui se situent entre ces deux extrêmes empotent surtout du frêt et accessoirement des passagers. Le tourisme fluvial est concurencé par les transports routiers, moins chers et plus rapides.

L'incompréhension se lit sur les visages lorsque nous écartons la solution de la voiture privée avec chauffeur qui atteint Pyay depuis Bagan en 10 heures et que nous achetons 2 passages en cabine collective pour 30 euros et 3 jours de descente. D'ailleurs le responsable de la compagnie maritime ne s'y trompe pas lorsqu'il me prédit que nous serons probablement seuls dans la cabine de 6 personnes.

Véro
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27 août 2006 7 27 /08 /août /2006 15:42
bagages

Ça y est ! Cela devait arriver ! Nous sommes rentrés sur Bruxelles. Bonjour grisaille et boulot. Faut quand même pas déprimer! La vie est belle et l'aventure continue. En défaisant nos bagages, nous retrouvons les parfums de notre périple...Comme Fernandel dans le film "François Ier" nous replongeons dans le passé. Les souvenirs de ces dernières semaines de voyage au Myanmar émergent dans notre présent. Véro s'installe derrière son ordinateur et frappe le clavier pour faire revivre nos pérégrinations.

Eddy

 

Au cours de nos nombreux périples, nous avons pris quantité de bateaux. De la coquille de noix au cargo. Mais depuis longtemps, je rêvais de faire un vrai voyage au fil de l'eau. Pourquoi pas, la descente d'un fleuve ? Prendre la température d'un pays au rythme d'une voie navigable. L'Irrawaddy, devenu Aeyrrawaeydy dans sa nouvelle orthographe présente l'intérêt d'être l'épine dorsale du Myanmar. Il n'y a pas, à proprement parler, de source de l'Irrawaddy puisque ce fleuve ne commence à porter ce nom qu'à Myit Son au confluent de deux rivières qui descendent des confins de l'HImalaya. Quant à son embouchure, elle se perd dans un delta extrêmement ramifié

Décidément,il me plaît, ce cours d'eau. De plus, en période de mousson, il permettra la navigation sur toute sa longueur. Eddy, qui a consulté quelques liens, se laisse convaincre sans peine, sauf qu'il n'a pas regardé les prix sur le "Road of Mandalay". Il trouve le mot croisière inadapté à un voyage en embarcations locales, plus en rapport avec notre budget.
road of Mandalay
navigation sur l'Irrawaddy
Organiser cette descente en 28 jours, nous a obligé à faire des choix. De Myit-Son à Bahmo, nous avons voyagé par la route pour différentes raisons : pas de bateau couvert, trop d'incertitude quant au nombre de jours d'attente pour un bateau. Je reste néanmoins persuadée que c'est faisable. Le temps nous a manqué, pour terminer la descente, et, après Pyay, il nous a fallu prendre la route pour regagner la capitale avant l'expiration de notre visa. Mais entre Bahmo et Pyay, nous avons tout fait en bateau au fil d'une bonne cinquantaine d'escales d'une durée de quelques minutes à 3 jours. C'est une autre Birmanie que nous avons découverte, les navires sont lents. Marchands, villageois ou pèlerins, tous possédaient une raison précise pour monter à bord. Mais plus que les gens, ce sont les marchandises qui voyagent sur l'eau. Une occasion unique d'observer les échanges commerciaux avec pour toile de fond un décor constant : la pagode, lieu de culte, mais aussi merveilleux repère pour les marins.
pagode
 
Véro
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26 août 2006 6 26 /08 /août /2006 06:00

Tiens toi bien, je crois qu'on nous regarde!

Tu ne penses pas que tu en fais un peu trop, non ?
 
Eddy
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25 août 2006 5 25 /08 /août /2006 06:00

La rentrée approche à grands pas. En attendant notre retour sur Bruxelles et la suite de nos aventures birmanes, je vous propose cette réflexion.

L'exemple vient d'en haut.
Eddy
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