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Bienvenue

Avril 2018 : Ce blog, développé sur une plateforme gratuite, et actif de 2005 à 2011 reçoit encore entre 50 et 100 visites par jour. Mais, comme il est envahi par la publicité, depuis 2012 nous alimentons un nouveau projet sur www.veroeddy.be . Sous ce même nom vous nous trouverez sur les réseaux sociaux où ce sera une grande joie de communiquer avec vous  C'est toujours un plaisir de lire vos découvertes et d'échanger sur notre intérêt partagé pour le voyage. Si vous avez une question, n'hésitez pas à nous laisser un commentaire ou à nous envoyer un mail,

A bientôt.

Véro et Eddy

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Nous sommes ravis de vous accueillir virtuellement dans notre espace voyage. Nous avons ouvert ce blog de voyage en 2005, mais nous bourlinguons ensemble depuis bientôt 40 ans. Nous espérons  vous divertir avec nos récits, mais surtout, vous donner envie de découvrir le monde, vous aussi. Si vous souhaitez poser une question, et que vous n'êtes pas sur le réseaux sociaux, notre mail :  C'est ici
Merci pour l'intérêt que vous portez à nos aventures. Bonne découverte.  
Véro et Eddy

19 juin 2016 7 19 /06 /juin /2016 13:24

Bonjour à tous. Eh oui, c'est moi Véro. Comme vous le savez peut-être ce blog n'est plus alimenté depuis 2011. Cependant, nous ne l'avons pas supprimé car il reçoit encore après 5 ans une centaine de visites par jour. Au point que par nostalgie, j'y reviens moi aussi de temps à autres. Et à chaque fois, je me pose la même question : Que sont devenus nos fidèles lecteurs de l'époque ? Sont-ils comme nous sur facebook ou sur d'autres réseaux sociaux ? Ont-ils encore un blog ici ? Lorsqu'au hasard de mes clics je tente un essai, souvent je reçois une page d'erreur et cela me désole d'avoir perdu le contact.

Alors si vous êtes toujours présents sur la toile, laissez nous un message en commentaire avec les coordonnées de vos pages afin que nous puissions fêter nos retrouvailles.

            

 

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10 octobre 2011 1 10 /10 /octobre /2011 13:32

Cet article a été tranféré sur notre site ici

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21 septembre 2011 3 21 /09 /septembre /2011 11:31

Dakar 37°

Ce matin, nous quittons notre hôtel vers 8 heures. Direction la gare routière.

 

A peine arrivés, les porteurs veulent se charger de nos bagages, les rabatteurs nous proposent de les suivre, les marchands de lunettes solaires, de cartes de téléphone, de sachets de biscuits et de boissons nous emboitent le pas dans l’espoir de nous vendre leurs produits.

Tout se passe dans une ambiance bonne enfant. Il faut dire qu’ici tout le monde se tutoie. Au début, cela surprend un peu l’Européen que je suis, mais finalement, je dois avouer que ce bain de tutoiements facilite les rapports.

Tous les véhicules que nous jaugeons du regard ont une date de péremption largement dépassée. Nous optons pour un « 7 places » que nous partagerons avec 5 autres passagers, tous Sénégalais.

 

Le Taxi 7 Places : Des Peugeot 504 ou 505 reconverties pour le transport en commun. On arrive à y coincer 7 passagers, d'où le nom du véhicule. Ces voitures sont le moyen de transport en commun le plus rapide car elles ne s'arrêtent pas avant leur destination finale (sauf ennui mécanique ou contrôle de police). Si vous ne portez pas de bretelles à votre pantalon, mieux vaut éviter la banquette arrière qui se transforme assez rapidement en trampoline.

 
 

Prix d’une place pour le trajet Dakar – St Louis (274 km): 5000 cfa , soit environ 7,50 € .

Il nous faudra négocier le prix des deux bagages. Après quelques minutes de palabres, le trajet nous reviendra, bagages compris à 6000 cfa (environ 9€) par personne. Nous prendrons les places situées au centre du véhicule.

 
 

Nous prenons la route vers 9h50.

Nous constatons que chacun remplit son rôle : les rabatteurs rabattent, les négociateurs négocient, les encaisseurs encaissent, les surveillants surveillent les bagages… il y a aussi l’écuyer du chauffeur dont la tâche consiste à sortir la voiture de l’enclos de la gare routière en se frayant un passage dans tout ce bazar. Le chauffeur ne prendra possession du taxi qu’à la sortie.

 
Vero et Eddy
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20 septembre 2011 2 20 /09 /septembre /2011 10:21
Où en sont les recherches concernant le masque ci-dessous?
 
 
Je n'ai toujours pas de confirmations, mais mes recherches s'orientent vers le Cameroun. J'ai trouvé une série de similitudes avec les objets suivants.
 
L'araignée est souvent représentée dans les arts et la mythologie du Grassland camerounais
 
 
 
Les petits visages qui ornent le pourtour du masque se retrouvent dans 2 exemples ci-dessus, comme dans le masque dont nous recherchons l'origine.
 
Qu'en pensez-vous ?
Eddy
 
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7 septembre 2011 3 07 /09 /septembre /2011 13:59
Au hasard des rencontres ...
Premiers contacts... Premières expressions... Premières impressions
 
Au cours des premiers jours, le regard se pose, l'oreille se fait curieuse.
Ce nouveau monde dans lequel nous évoluons attise tous nos sens. Images et sons nouveaux, expressions, mots entendus pour la première fois , saveurs, odeurs, bribes de conversations, attitudes, tout concoure à mieux comprendre la société sénégalaise.
 
Premier étonnement : "La vache qui rit" affiche son sourire un peu partout.
 
 
Les panneaux publicitaires hauts en couleurs.
 
 
Les devantures des établissements, les étals, les comptoirs.
 
 
Boutique Le Roy Merlin ??!!
 
 
Les dibiteries
Ce sont de petites gargottes (souvent tenues par des Houassas nigérians ou par des Toucouleurs) où l’on sert exclusivement de la viande de mouton grillée sur feu de bois
 
On peut comprendre que certains moutons préfèrent se rendre chez le couturier.
 
 
Au bonheur des dames
 

Côté cuisine de restaurant

Le poulet Yassa est l'une des spécialités de la cuisine sénégalaise.
Ingrédients : Pour 6 cuisses de poulets, il faut 6 citrons, 6 oignons, 3 feuilles de laurier, huile, thym, piment, sel, poivre au moulin.

Le maffé à base de boeuf, d'agneau ou de poulet.
Ingrédients : Huile d’arachide, oignons, concentré de tomate, choux, carotte,
pommes de terre, oignons, piment,

L'oignon occupe une place essentielle dans la production agricole et dans les plats cuisinés.

 
 
La gazelle et la Flag sont deux bières sénégalaises.
 
 

Le Sénégalais communique beaucoup. Il est tout à fait normal de s'adresser à quelqu'un (même si on ne le connaît pas) pour lui demander si "ça va".
-Bonjour! ça va ?
-Ça va. Et toi, ça va ?
-Ça va. Et les enfants, ça va ? Et le mari, ça va ? Et la santé, ça va ? ...

 
 
Un peu partout, des idées et des citations s'étalent sur des pans de mur.
 
 
 

Le Toubab : mot dérivé du Mandingue «tubabu» désignant le Blanc.
Je suis un Toubab, tu es une Toubab, nous sommes des Toubabs.

Mais attention, le terme Sénégaulois sera réservé aux Européens installés au Sénégal.

 
 
Eddy et Véro
 
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4 septembre 2011 7 04 /09 /septembre /2011 17:44

DAKAR - A l'affut du moindre embouteillage, les vendeurs ambulants remontent les files de voitures. Pris au piège dans la circulation, chauffeurs et passagers sont alors à la merci des quémandeurs de toutes espèces. Le stock de marchandises entassé dans un sac à dos, le marchand déambule de voiture en voiture, s'arrêtant chaque fois pour présenter... qui, des lunettes solaires, qui des cartes de téléphone ou autres (coupes de tissus, magazines, journaux, bois sculptés, rouleaux de papier WC, parfums, eaux de toilette, stylo Mont Blanc garanti pure contrefaçon, T-shirt, horloges murales, montres, tongs, jeux de société, étuis pour GSM, ...

 
 
 
 
 

En ce qui concerne le masque januforme, aucunes confirmations pour l'instant.
Sénoufo est peut-être une piste à creuser, mais je n'ai rien trouvé de correspondant sur le web.

Pour ceux qui s'intéressent plus particulièrement aux masques, parures et rites africains voici des sites incontournables.

 

http://ethnoarts.over-blog.com/article-parures-chez-les-peuples-d-afrique-64424806.html

 

http://ethnoarts.over-blog.com/article-parure-chez-les-peuples-d-afrique-2-2-64970621.html

 

 

http://ethnoarts.over-blog.com/article-masques-1ere-partie-66855764.html

http://ethnoarts.over-blog.com/article-masques-2eme-partie-68489895.html

 
Véro et Eddy
 
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30 août 2011 2 30 /08 /août /2011 13:55
     Cet article a été refait et se trouve sur notre site ici                
                                                                               
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29 août 2011 1 29 /08 /août /2011 17:31

         

  Cet article a été refait et se trouve désormais sur notre site ici 

           

                                                                  

           

 

 

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9 août 2011 2 09 /08 /août /2011 20:53
 
L’île de Gorée invite à la promenade.
Dès que l’on s’éloigne du débarcadère, le calme berce le visiteur.
 
Un dédale de ruelles amène toujours le promeneur à une place ombragée où les hommes discutent sans  jamais élever la voix.
 
Des guirlandes de fleurs tombent en cascades le long des murs. Quelques fleurs de cactées s’épanouissent sous le soleil de midi.
 

L’ombre d’un arbre recouvre un dormeur, spectacle paisible que vient parfois interrompre quelque démarcheur.
 
 
Tout au long du sentier qui serpente vers le point le plus élevé de l’île, des boutiques exposent des objets sans charme. Arrivé au sommet on y découvre une paire de canons que les habitants de l’île ont pompeusement baptisés « les canons de Navarone ».
 
Nous prenons la direction du fort circulaire. Nous évitons la cour intérieure plombée par le soleil et nous déambulons dans les galeries latérales qui abritent un musée dont les documents racontent l’histoire des lieux.
Un chemin de ronde court tout le long de la bâtisse. Quelques anciens canons arment encore les remparts.
 
Un lézard trouve refuge dans la gueule d'un canon.
 
Il est 15 heures. Nous rentrons sur Dakar.
Véro et Eddy
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8 août 2011 1 08 /08 /août /2011 21:36
 
Aujourd'hui, nous effectuons la traversée jusqu'à l'île de Gorée.
 
 
A quelques encablures du continent, l’île de Gorée aiguise la curiosité du visiteur avide d’histoire. C’est ici, que durant trois siècles, des bateaux négriers déportaient leurs marchandises humaines vers le Nouveau Monde. Si la ville de Saint-Louis connaissait un trafic d’esclaves bien plus important, l’île de Gorée n’en était pas moins lieu de regroupement.
 
A l’époque où le commerce des Africains était en pleine expansion, l’île abritait plusieurs maisons des esclaves comme celle-ci.
 
 
Les esclaves y étaient rassemblés et triés (hommes, femmes, enfants) avant d’être embarqués de force sur des bateaux négriers. Entassés comme des sardines dans une boîte, les malheureux effectuaient un voyage épouvantable de plusieurs semaines en mer.
Les conditions de vie à bord étaient telles qu’une partie des esclaves mouraient au cours de la traversée.
 
La maison des esclaves
 
Au rez-de-chaussée se trouvent les cellules plongées dans l’obscurité. Cellules des Hommes, des Enfants, Chambre de pesage, cellules des femmes, des jeunes filles. Dans celles réservées aux hommes, faisant chacune 2,60 m sur 2,60 m, on enfermait jusqu’à 15 à 20 personnes. Cette petite maison pouvait contenir entre 150 à 200 esclaves.
 
 
 
 
Un large escalier à double flèche conduit à l'étage qui était occupé par les  marchands négriers.
 
 
Aujourd'hui, si la maison des esclaves revêt à la fois un intérêt historique et un intérêt touristique, nous avons aussi à nous souvenir de toute la souffrance qui se cache derrière chaque cliché.
 
Eddy et Véro
 
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